Portée par les évolutions technologiques, l’information est désormais abondante, accessible et géolocalisée. L’opportunité de représentation géographique de ces données fait éclore de nouveaux besoins. Les outils géomatiques se transforment et les modèles économiques innovent. Ce dynamisme nous incite à vouloir déceler l’avenir du géoservice. C’est ce que nous tenterons de voir ensemble lors de cette journée de géoséminaire 2019.
Les géoservices, mais de quoi parlons-nous plus exactement ? Nous chercherons à mettre en lumière ce terme en présentant différents exemples appliqués sur nos territoires. Nous étudierons aussi les besoins qu’ils comblent et les technologies qu’ils utilisent.
Définition clarifiée, sont-ils vraiment important ? Nous ferons là le tour d’une question qui induit une mesure délicate : celle de l’impact de ces géoservices sur le territoire. Réponse difficile d’accès mais essentielle à la prise de décision, comment pourrions-nous l’évaluer ?
Et demain ? Les besoins de gestion territoriale auront-ils évolués ? Quels géoservices pourraient exister ? En effet, si les technologies sur lesquelles se basent les géoservices d’aujourd’hui évoluent, et les données avec, les géoservices suivraient inéluctablement la tendance. Faut-il encore essayer de deviner qui les produira, et selon quel modèle économique ? Et finalement, tout cela, pour quels effets sociaux, économiques et environnementaux ?
En résumé, notre sujet se développera suivant ces trois axes principaux :
Le terme de géoservice n’existe pas dans le dictionnaire, il nous sera pourtant utile pour définir le cœur du sujet de cette journée de géoséminaire. Qu’est-ce qu’un géoservice ? A quels besoins répondent-ils ? Et sur quelles technologies s’appuient-ils ?
Les géoservices jouent un rôle important pour la gestion territoriale. Ils influent sur les décisions politiques, les rendements économiques et la protection environnementale. Mais comment évaluer leurs rôles ? Quels indicateurs peuvent nous permettre de mesurer leurs impacts ?
L’avenir du géoservice est délicat à jauger, c’est en observant les tendances technologiques, de besoins et de données, que nous tenterons de deviner les géoservices de demain. Quels seront-ils ? Qui les produira ? Et pour quelles perspectives d’impacts ?
Pour toute question, n’hésitez pas à utiliser notre boite à question en ligne.
L’organisation de l’événement est gérée par les auditeurs du MS Silat qui composent la promotion 2018-2019. Nous travaillons avec l’ensemble de l’équipe pédagogique et des partenaires du Géoséminaire dans le but de mener à bien ce projet.
Le Mastère SILAT est hébergé au sein de la Maison de la Télédétection, pôle de recherche et d’accueil de start-up dans le domaine de la géomatique, et forme des managers de projets géomatiques, experts en SIG et télédétection. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la page AgroParisTech dédiée à la formation en cliquant ici.
Vous pouvez également consulter le CV Book de la promotion.
L’excellence technologique de la formation :
Elle tient à la maîtrise des concepts, des méthodes et des outils de la géomatique (SIG, télédétection et technologies connexes), mais aussi la connaissance et le suivi du contexte technologique évolutif du domaine ainsi que la connaissance du milieu professionnel concerné.
Le management des projets :
Ceci inclut non seulement la capacité à mettre au point, à conduire et à évaluer un projet SI / SIG, mais aussi l’appréhension des jeux d’acteurs, des enjeux stratégiques et des interactions dans les projets (interactions à l’intérieur de l’organisme et entre partenaires).
Le Géoséminaire 2019 est la 12ème édition de cet évènement. Voici un aperçu des précédentes éditions :
En effet, au cours des dernières années, le secteur de la géomatique a profondément évolué avec le développement d’internet et des services cartographiques. L’ouverture, incarnée par le mouvement Open Data, démocratise l’accès aux données et leur (ré)utilisation grand public, plaçant ainsi de plus en plus l’information géographique au cœur des enjeux de communication et de prise de décision. Cependant, ces dynamiques ne se font pas sans soulever un certain nombre de questions sur la qualité, l’interopérabilité, la pertinence ou encore les conditions juridiques de l’utilisation des SIGs. Le Géoséminaire 2018 propose donc de réunir la communauté géomatique afin d’apporter des réponses à ces questionnements et de montrer un aperçu des solutions possibles pour l’avenir
Pour en savoir plus, accédez au site de Géoséminaire 2018
Le Géoséminaire 2017 sera pour vous l’occasion d’échanger avec des personnes expertes de l’information géographique (AFIGEO, GEOSUD, etc.). De rencontrer des acteurs de la géomatique issus de divers horizons (Bureaux d’études, établissements publics, associations, collectivités territoriales,etc.)
Pour en savoir plus, accédez au site de Géoséminaire 2017
Le Géoséminaire 2016 propose de réunir la communauté géomatique afin de discuter des réponses et des solutions adaptées aux usages des données géographiques pour la gestion de l’eau.
Aux côté du CEREMA, de l’ONEMA, de l’AFIGEO etc., le BRGM présentera le Référentiel hydrogéologique français BDLISA et évoquera le rôle du BRGM en tant qu’appui des institutions nationales (ONEMA, Ministères) et de bassin (Agence et Offices de l’Eau, DREAL) pour ce qui est du référentiel des masses d’eau souterraine, en application de la Directive-cadre sur l’eau (DCE).
Un stand BRGM sera à disposition des visiteurs pour assurer des démonstrations et répondre aux questions sur les composantes du SIE (système d’information sur l’eau) et les réalisations en cours notamment le Pôle INSIDE et les SIGES (Système d’Information pour la Gestion des Eaux Souterraines).
Pour en savoir plus, accédez au site de Géoséminaire 2016
Vers une nouvelle ère démocra TIC ?
Plusieurs notions sont évoquées par le terme territoire : géographique, sociale, environnementale et économique, c’est à dire l’interface entre nature et culture. Le territoire est alors le décor où se déroulent les activités humaines.
Un territoire intelligent possède des infrastructures permettant une circulation et une interprétation rapide de l’information. Cette approche prend en compte et met en réseau les différentes composantes de cet espace. Elle permet une meilleure compréhension des problèmes et enjeux afin d’en faciliter sa gestion et son développement.
Le Géoséminaire 2015 propose de réunir la communauté géomatique afin de discuter de l’implication de la géomatique dans l’intelligence territoriale.
Pour en savoir plus, accédez au site de Géoséminaire 2015
Ce séminaire portait sur la qualité, le partage et les conditions d’usage des données géographiques. Au cours des dernières années, le secteur de la géomatique a profondément évolué avec le développement de l’internet et des services cartographiques. L’ouverture, incarnée par le mouvement Open Data, démocratise l’accès aux données et leur (ré)utilisation grand public, plaçant ainsi l’information géographique toujours plus au coeur des enjeux de communication et des prises de décision.
Cependant, ces dynamiques ne se font pas sans soulever un certain nombre de questions sur la qualité, l’interopérabilité, les conditions juridiques …
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Ce séminaire s’inscrivait dans le contexte de la mise en place de l’Equipex GEOSUD, plateforme d’accès mutualisée et gratuite à des mosaïques de données satellitaires d’observation de la terre pour les acteurs publics français.
Il avait pour but de contribuer à la spécification des outils et services de l’EQUIPEX à partir des besoins exprimés et des retours d’expériences.
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Ce séminaire s’inscrivait dans un contexte d’évolutions rapides, non seulement en termes technologiques, mais aussi dans le fonctionnement de la filière (diversification des besoins des utilisateurs, des modes de production et de mise à disposition des données).
Pour en savoir plus, accédez au site de Géoséminaire 2012
De plus en plus de projets utilisent la cartographie participative en tant qu’instrument privilégié de collecte de données mais aussi comme prisme de dialogue dans le cadre de concertation ou d’échange entre les citoyens et l’État. Par le biais d’outils et de méthodes précis, de nombreux acteurs non-experts en géomatique utilisent des données géographiques et produisent un savoir utile à la planification et à l’aménagement de notre territoire.
Pour en savoir plus, accédez au site de Géoséminaire 2011
Ancré dans la dynamique autour de la directive INSPIRE, ce Géoséminaire s’intéressait aux infrastructures de données géographiques au service des territoires face à différents constats :
Cette édition se proposait de dresser un aperçu des constats et perspectives.
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Le site du Géoséminaire 2009 n’est malheureusement plus accessible
Depuis quelques années, le Web 2.0 bouleverse les relations entre les internautes par son caractère collaboratif. Cette édition se penchait sur l’incidence que ces bouleversement peuvent avoir dans le monde de la géomatique.
Pour engager cette réflexion, le Géoséminaires’était articulé autour de présentations thématiques évoquant entre autres :
Pour en savoir plus, accédez au site de Géoséminaire 2008